Silence on ferme !
- Christophe Mentières
- 23 nov.
- 1 min de lecture
Une façade autrefois vivante, aujourd’hui figée dans un état d’abandon. Les volets roulants rouillés, la peinture écaillée, les enseignes à peine lisibles… tout cela raconte une histoire réelle, pas fabriquée. On sent la présence passée d’un commerce qui a servi, accueilli, animé, puis s’est tu.

Silence, on ferme explore les traces laissées par les commerces autrefois vivants et aujourd’hui abandonnés.
Ces façades closes, marquées par le temps, racontent sans mots la disparition progressive des lieux du quotidien.
La série invite à regarder ce que l’on ne voit plus : la mémoire fragile des rues, l’effacement discret des liens de proximité, et la beauté poignante de ces présences silencieuses.

Ici, tout semble endormi, mais rien n’est perdu.Ces façades closes portent encore l a lumière des jours anciens et l’élan discret de ceux à venir.
Dans chaque éclat de couleur, dans chaque trace du temps, une promesse demeure :la beauté continue de vivre, même derrière les volets baissés.
Car l’art est là —dans l’attente, dans le silence, dans la possibilité intacte d’un renouveau.
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